The Faculty's Underworld
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 Bout d'écrit fantastique [pas de titre provisoirement]

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Sato

Sato


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MessageSujet: Bout d'écrit fantastique [pas de titre provisoirement]   Bout d'écrit fantastique [pas de titre provisoirement] Icon_minitimeMar 7 Aoû - 23:15

Alors, c'est un petit truc qui germe au fur et à mesure dans mon cerveau.
Je ne sais pas ce que je vais en faire, et où cela va me mener... mais bon, ça n'en sera pas à mon premier essai.

J'espère juste que ça serait ptetre plus "grand", plus "moi" que pour ce que j'ai écrit précédement au niveau histoire (qui datent d'un peu plus longtps aussi).

Donc, voilà. ça peut servir de prologue, ou de tout ce que vous voulez... Laughing

N'hésitez pas à commenter.
Si l'inspiration continue à pointer le bout de son nez, je vous donnerais la suite Wink
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Sato

Sato


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MessageSujet: Prologue   Bout d'écrit fantastique [pas de titre provisoirement] Icon_minitimeMar 7 Aoû - 23:15

L'ambiance était tamisée et le feu crépitait joyeusement. Dans la salle, le brouhaha constant des conversations s'était un peu calmé pour faire place à une nonchalance due à la fatigue des voyageurs de passage et à l'alcool qui finissait de faire effet. Quelques crépitements venaient faire sursauter les quelques pochtrons pas encore absouts.
L’odeur de l’herbe à tabac venait se répandre dans cette salle où il faisait chaud, contraste détonant avec l’extérieur froid et inhospitalier.

J’étais de passage. A moitié vivant, à moitié mort. Une sorte de spectre, l’ombre d’un voyageur téméraire qui avait bravé bien des monstres alors qu’aucun cheveu blanc ne se montrait sur le haut de mon crâne. Doucement, je me suis approché de l’âtre encore rouge et m’installais dans le fauteuil lui faisant face. Ramenant doucement la capuche de mon manteau sur le dos, je sortis une pipe et commençais à la bourrer.
Autour de moi, c’est un élan de fatigue qui s’emparait de tous. La nuit avançait et le meilleur des moments arrivait.
Là où tout était possible, là où les histoires merveilleuses devenaient réelles et où le fantastique dépassait l’imaginaire pour venir pousser la porte de nos consciences.

C’était ce qu’il me restait. L’imaginaire et les souvenirs. La vieillesse s’était emparée de moi, le doux repos d’une retraite forcée.
Tirant une bouffée sur ma pipe nouvellement allumée, je laissais mon esprit vagabonder le long des volutes de fumée qui s’échappaient.


___________________________________


Il est des temps noirs comme nos âmes.
Ces âges nous guettent, nous imprègnent et ne nous laissent jamais réellement nous échapper.


Loin au-delà de l’aube,
Les étoiles brillent comme des émeraudes ;
L’illusion du passé s’estompe dans mes mains
Et laisse vaquer mon esprit inhumain.

Une stance après l’autre,
Mon esprit divague.




Les fées tournaient autour de moi, me harcelant avec mes états d’âme. Avais-je bien fait ? Etait-ce juste ? Je chevauchais aux côtés de l’Empereur qui m’avait fait expressément fait demander. Derrière nous, l’armée en marche laissait un bourdonnement et un nuage de poussière. Rien ne résistait à cette armée victorieuse. Personne ne pouvait s’opposer à cet empereur.
La contrée d’Arc n’avait pas tenue, comme toutes les autres que les guerriers avaient traversés. Paryth, Mégal, Diat, Sispi ; toutes avaient succombé à la corruption, à la haine et à l’anarchie qu’imposait Son ombre. Une ligne noire comme la mort marchait et je bavardais avec.

Désolation était son nom. Orgueil était sa lame. Parjure son bouclier. Notre seigneur et maître à tous. Mangeurs d’âmes, Siphonneurs, chevaucheurs, les limbes s’étaient levées et jetées sur la face d’Osh’gath. Un cortège d’oubliés étaient sortis des mythes du vieux monde, et se vengeait des années perdues.
Et je me tenais là, au milieu de ce chaos. Eminence grise, servant, guerrier, frère de l’Empereur. Qui j’étais réellement, personne ne le savait, pas même Lui, pas même moi.

Les fées tournaient encore. Elles, symboles de mon pouvoir, de ma puissance, de ma soumission, de mes tourments. Menues et malignes, seul moi pouvais les toucher, leur parler, les comprendre, les entendre, les voir…
Gracieuses, minuscules, elles paraissent tellement fragiles. Et d’une beauté étrange, différentes de ce qu’on pouvait côtoyer dans tout Osh’gath.
Les fées sont la racine de l’univers. Celles qui maintiennent le pouvoir, la force et la magie ; le noir, le rouge et le blanc. Si l’on en croit les vieilles légendes, Sja’h le Voyageur aurait offert les fées à Osh’gath la Tourmentée pour lui demander une faveur. Cette-dernière les aurait utilisé afin de consumer le corps de Sja’h et d’enfermer son âme. Et pour s’assurer qu’il ne pourrait jamais s’échapper, la Tourmentée s’enveloppa autour de lui, tissant le puissant sortilège sur lequel nous vivons à présent. Les fées sont les verrous de cette prison.

Accordant que peu d’importance à ces histoires, j’eus très rapidement la certitude qu’il existait un moyen d’ôter les verrous, de posséder les fées, et par là même, leur pouvoir. Libérer le Voyageur, et détruire Osh’gath. Il n’en fallait pas moins pour attiser ma convoitise et mon intelligence. J’avais déjà vendu quelques portions de mon âme à trois fées, ces fées qui chantaient pour moi ; qui me tournaient autour ; qui me tourmentaient, encore et encore.
Mais elles demandaient toujours plus. Alors, j’offrais. Ce qu’elles préféraient, c’était les enfants, leur cœur fragile et tendre, palpitant de vie et de naïveté.
Mais peu m’importaient toutes ces horreurs, elles se liaient à moi ; elles avaient besoin de moi ; et elles me donnaient leur pouvoir.


Fées noires,
Amantes de mes déboires,
Chantez pour moi,
Vibrez pour moi.

Le sang et le cœur
La mort et la peur
L’enfer et la douleur

Fées noires,
Maîtresses de mes espoirs,
Dansez pour moi,
Vibrez pour moi.

L’enfant se meurt
La terre pleur

Fées noires,
Esclaves de mon pouvoir,
Ouvrez la Voie
Et montrez-moi :

La Vision du Voyageur !




Nous passâmes devant un charnier. L’Empereur ni accorda pas même un regard, mais je ne pus m’empêcher d’admirer le travail des hommes et de leur peur. Des bestioles tournaient déjà autour, charognard et opportuniste comme l’on en trouvait à la cour de tous les états du royaume à feu et à sang. La plaine était vaste, un peu incurvée. Je n’étais simplement qu’à quelques kilomètres mais je pouvais sentir l’odeur fétide et délicieuse de la mort en décomposition. De loin, l’on aurait pu croire à la sculpture d’un artiste dément qui avait immortalisé des hommes et des femmes, à taille réelle. Les corps se chevauchaient, s’enlaçaient, s’embrassaient dans un seul élan. On aurait pu croire à une scène de retrouvaille. Seul l’immobilisme, la puanteur et les charognards tenaient la vérité devant les spectateurs que nous étions.
Les membres tendus dans une dernière supplication, le visage déformé par la peur, le froid et l’horreur. On aurait sans doute put lire l’incompréhension dans les yeux de mourants, quelques heures avant notre passage. Le charnier était gigantesque. Il recouvrait toute la plaine, sur des kilomètres à la ronde. Ça et là, des gémissements de mort-vivants. Des perdus qui souffraient le martyr, priant le ciel qu’on les délivre. Douce musique étrangement profonde. Le vent, le cliquetis des bannières, le gémissement de la mort, tout chantait dans un ensemble merveilleux, orchestré par la nature et l’homme lui-même.
Je connaissais ceux qui nous suivaient. Je les entendais murmurer, soupirer, rigoler. Le visage déformé d’une femme, serrant dans ses bras un enfant mort étranglé, à moitié nue et déchiquetée. L’étrange sourire et la drôle de tête d’un homme, scalpé proprement et dont la cervelle servait de mise en bouche pour les prédateurs volant.
Deux hommes, main dans la main, sereins, tenant entre leurs dents leur appareil génital. Un chien grignotant les bouts d’un cadavre éventré…
Oui, je les entendais bien rire. La folie des hommes les avait rattrapés et mis en pièce avant que nous ne nous en occupions. Mais derrière ces rires, l’irritation devenait palpable.
Quelque chose tuait les hommes avant nous. Quelque chose marchait plus vite que l’armée de l’Empereur et laissait de l’amertume dans les esprits de ses guerriers.

Mes fées tournaient toujours. Je sentais leur joie. Le sang était partout, la mort et la désolation aussi. Il n’en fallait pas plus pour les mettre dans tous leurs états. Ma puissance affluait et augmentait en conséquence. J’étais dès lors, plus utile à la fin d’un combat, quand la mort s’appesanti sur le cœur de chacun, ou lorsque que j’érigeais un holocauste. La brise égayait mes cheveux, et les odeurs qui m’assaillaient faisaient ressurgir mes vieilles pulsions.
M’écartant de la colonne sans me soucier de personne, je me dirigeais vers la plaine rouge. Les fées me précédaient, voletant de corps en corps afin de s’abreuver des âmes mourantes et encore chaudes, m’enivrant peut à peu. Ma monture martelait le sol, écrasant les os, les chaires, les crânes qui se dressaient sur son chemin. Ces bruits résonnaient le long de la morne plaine et se répercutaient à mes oreilles, me laissant à chaque instant, un frisson.
Posant mon regard de part et d’autre, mon attention fut détournée par le corps d’un nourrisson. Les charognards ne s’en étaient pas encore délectés, mais la terre s’en était chargée. Une fine couche d’insectes grouillant lui couvrait le corps. Une masse informe, inhumaine, noire et mouvante dissimulant l’enfant, autrefois plein de vie. Cela grouillait, cela tournait, cela proliférait, offrant au petit cadavre la parure d’un grand roi mort au combat, la dernière armure qu’il porterait.
Je descendis de ma monture et m’agenouilla devant l’enfant. Ecartant d’une main sa peau vivante, je plongeais ma main dans son corps et en ressorti le cœur. Il n’était pas mort depuis longtemps, et il était encore chaud. A moitié en transe, j’hurlais une incantation et le dévorais, aspirant par là même son fluide.

Nous avions laissé le champ de désolation depuis quelques heures à présent. Personne n’avait mouché un mot par rapport à mon comportement. J’étais dans les grâces de l’Empereur et assez puissant pour convaincre tout importun que me questionner aurait été la dernière chose stupide accomplie.
Nous marchions sur la capitale d’Arc, Arth’gys. L’on pouvait apercevoir des fumées noires qui s’élevaient à l’horizon, nous guidant par le feu et la destruction. Nos chevaucheurs étaient déjà partis en éclaireurs, lançant par la même une vague de mécontentement dans le reste de l’armée. Quelques morts plus loin, plus personne n’avait trouvé à redire quand à la stratégie de notre Empereur.
Je parvenais à apercevoir quelques Voletants qui suivait de près nos troupes aériennes. De petits opportunistes, un petit peuple sans force, sans caractère mais doué d’une capacité à la neutralité hors du commun. De la taille d’un humanoïde, il portait sur le haut du dos, d’étranges ailes à plumes, complètement à l’opposé d’ailes de dragons. C’était sûrement une des races que je trouvais les plus ridicules. Synonyme de morts à dépouiller donc de bataille, la présence des Voletants prouvaient que nos chevaucheurs avaient sonné la charge.
Déjà, le frémissement des bêtes, l’excitation des guerriers, l’augmentation de la densité de la magie se faisaient sentir. La bataille était imminente. Les glyphes de protection, de sournoiserie, de mort apparaissaient dans les airs au dessus de notre colonne. Certains Siphonneurs remuaient et grognaient, cliquetant à cause de leur carapace étrange d’où leur venait leur nom. En combat, ils semblaient auréolés de vide, et « siphonnait » les lignes adverses sans qu’aucun ne puisse faire quoi que ce soit. Au pied de la capitale, la mort attendait patiemment qu’entre l’Empereur. Arth’gys allait tombée comme les autres, et un bain de douleurs, de sang et de violence ne pouvait que m’enivrer !


___________________________________



Le chaos régnait sur Osh’gath
Et ce jour avait fait date.
Le temps des hommes était révolu
Et approchait l’automne des Déchus.

Longue était la plaine,
Plus grande encore la peine
De tous ces soldats morts au combat,
Tristes pantin que la guerre abat.

Les murailles de la belle Arth’gys
Se dressaient face aux vices
Des hommes, des bêtes : les Oubliés ;
Pris par les soins des Possédés.

De cette bataille, plus rien ne reste que nos mémoires.
Peu de chants, de récits, et encore moins de gloire,
Qu’érige nos esprits comme nos têtes
Dans cette nuit éternelle qui nous guette.
Alors, asseyez-vous et écoutez !
Vous : manants, badauds, trouble-fêtes ou fermiers ;
Vous : passants, jeunots, ancêtres ou guerriers ;
Prêtez l’oreille aux récits du passé.

L’armée de l’Empereur avançait en vainqueur
Depuis la péninsule jusqu’à l’Intérieur.
Laissant derrière elle : cris, souffrances, douleurs ;
Peines, désillusions et malheurs.
Le combat éclata sous les blanches tourelles de la capitale.
L’Empereur avait lancé ses chevaucheurs en aval
Et était désormais maître des Airs
Après avoir détruit les Dragons, mille fois centenaires.
Orgueil était sa lame, Parjure son bouclier.
Lancé dans la bataille, l’ennemi ne pouvait plus s’échapper.
Mangeurs d’âmes, Fossoyeurs, Siphonneurs, tous marchaient,
Combattaient, dévoraient.
Alors, se dressa la magie ! Terrible nuée de fées.
Faisant trembler la Terre et la fissurer
Afin que les murailles ploient et se brisent
Laissant entrer la mort et la traitrise.
Ainsi se dressait-il, arrogant et inhumain,
Ce sorcier qui faisait rugir le vent en levant son poing.
Au plus profond de la bataille, il était intouchable,
Protégez par des démons aux pouvoirs incommensurables.
Ils trônaient au sein de la bataille, tel deux frères.
L’Empereur et le Sorcier, le sang sur les mains et l’épée au clair.
Tels deux dieux surpuissant, engendrés par la Terre même,
Avatar de la colère des Possédés, l’horreur et la folie qu’ils sèment.

Alors que l’aube dressait sa robe d’or et chantait à l’azur,
Les derniers râles humains semblaient lui battre la mesure.
Arth’gys était tombée, morte et ruinée
Comme une femme qui aurait été violée.
L’Empereur avait unis le ciel et la terre,
Son sorcier s’enroulait toujours d’autant de mystères.
Les humains s’échappaient des ruisseaux sanglants,
Rongés par la haine et des désirs malfaisants :
Détruire ce qu’il restait d’humanité, survivre et se raccrocher
A leur côté le plus mauvais, parjures et bêtes désabusées.

Arth’gys était tombé, et avec elle, le dernier rempart de l’humanité.
Plus rien ne ressemblait à l’humain qu’autrefois, l’on connaissait.
Race damnée, perdue, enfouit par la haine et le désespoir,
Race aînée, inanimée, perdant son âme et son pouvoir.
Avec son cortège de malheur, de tristesse et d’horreur,
Ce qu’il reste de nous ne vit qu’à travers notre peur.

Arth’gys était tombée, et je pleurais sur ses ruines.
Arth’gys était tombée, et l’aube s’accompagnait d’une bruine…




La taverne était à présent bien silencieuse. Seul le résidu de ma chanson résonnait dans la tête des rescapés de la soirée. Avachis comme des loques, personne ne devait plus se souvenir de cette histoire que je venais de chanter. A ma gloire passée, à l’horreur et la bestialité. Pendant longtemps, ce récit fut la pierre angulaire des mythes tissés autour de la ruine de l’homme et d’ Arth’gys.
Le feu crépitait doucement jusqu’à l’agonie ; agonie qui naissait dans le foyer de ma pipe. Mais depuis longtemps, je ne dormais plus. Alors, je remplirais encore une fois ce morceau de bois pour laisser encore une fois mes souvenirs s’évacuer par de fines bouchées de fumée.
Je connaissais de toute façon assez de chansons, pour survivre à la nuit, payer ma chambre et ma nourriture. Des contes qui ne faisait qu’amuser les passants, payer mes dettes, mais qui ne signifiaient plus rien pour bon nombre d’entre eux. Des mots et des musiques. Du divertissement !
Quelle honte. Arth’gys avait tout détruit. Et pourtant, l’homme avait quelque peu survécu. Mais à quel prix ?
Il n’avait plus rien d’humain… tant par le caractère que par le physique. J’ai toujours passé pour une bête de foire, une gens venus d’ailleurs. Tout s’est perdu : plus de mémoire, plus de transmission… Le monde ne tournait pas rond, et peu s’en fallait pour qu’il tombe en morceau.
La nuit allait me paraître encore une fois, étrangement longue… Ressasser le passé n’était jamais la bonne solution. Mais que faire lorsque l’on existe plus que par son passé ?
Tirant une première bouffée sur cette nouvelle pipe, je m’enfonçais plus profond dans les méandres de mon passé, du passé d’Osh’gath et de cette sombre nuit.
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Kit

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MessageSujet: Re: Bout d'écrit fantastique [pas de titre provisoirement]   Bout d'écrit fantastique [pas de titre provisoirement] Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 15:52

Mais c'est du bon tout ça! Pas de blabla inutile, une introduction qui nous plonge très rapidement dans l'histoire, les prémices d'un monde qui me semble intéressant et une ambiance morbide et un peu malsaine parfaitement installée, sans aller dans la surenchère ou l'ennui. Ca commence vite, mais surtout bien!
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MessageSujet: Re: Bout d'écrit fantastique [pas de titre provisoirement]   Bout d'écrit fantastique [pas de titre provisoirement] Icon_minitime

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